Juste-Jules

Juste-Jules Humbert est un auteur, chanteur, musicien et interprète présent sur la scène lyonnaise depuis 2013, dont les compositions et reprises sont raffinées par l’éclectisme étonnant de ses influences : jazz ou funk, rock progressif ou psychédélique, trip-hop ou hip-hop, indie ou chanson française, peu de genres échappent à son intérêt. C’est en enchaînant les concerts et les scènes ouvertes accompagné d’un looper qu’il fait la rencontre de nombreux musiciens locaux, avec lesquels il fonde le collectif d’artistes The Secret Basement en 2015.

Après plusieurs années d’amitié avec Juste-Jules, je rejoins le collectif en 2016 ; d’abord en tant que guitariste lead, puis en tant que guitariste et pianiste. L’objectif de ce collectif était de promouvoir les projets personnels en mutualisant ses membres : autrement dit, les projets musicaux des uns étaient soutenus et accompagnés des autres, selon les besoins et les disponibilités, ce qui donnait lieu à une variété sans cesse renouvelée d’influences et d’interprétations au fil des concerts, le plan parfait pour progresser en s’amusant !

Parmi ces projets, celui de Juste-Jules fut pour moi un domaine exceptionnel, accueillant aussi bien le jeu et le partage entre amis que les recherches sonores, à l’aide d’un pedalboard en constant développement. En parallèle à nos prestations live, JJ a sorti un EP dans lequel j’interprète un solo de guitare, et grâce auquel le déchirant Nevermore est devenu un incontournable de ma discographie.

Depuis mon départ en 2017, je n’ai eu que trop peu d’occasions de retrouver le « Basement », mais cela n’empêche pas Juste-Jules de me solliciter afin de se remettre à collaborer en studio. En 2019, j’interprétai un solo de synthé pour sa reprise de Michel Polnareff, les projets à venir ne manquent pas, et c’est tant mieux !


Soundcloud de Juste-Jules : https://soundcloud.com/justejules

Les amis du Secret Basement, que c’est pas parce que je ne leur ai pas fait de pages rien qu’à eux que je ne les aime pas tout plein :

  • L’increvable Ben (et c’est pas faute d’essayer)
  • Yannick au cajon

DÉMOS